Fin octobre 1953, Madame Paul Mistral, épouse du maire de la Morte et sénateur de l'Isère crée en compagnie de quelques notables grenoblois une association destinée à assister moralement et matériellement les libérés tant définitifs que conditionnels. A l'époque la prison se trouve sur le site de l'ancienne caserne de Bonne et le siège de l'association est fixé au 11 rue Charles Testoud à Grenoble dans des locaux de la ville de Grenoble. le 18 novembre de la même année, l'association est déclarée à la Préfecture de Grenoble avec parution au Journal Officiel le 21 novembre.